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Auteur/autrice : Romain

BETCLIC ELITE – J23 : LES BYERS FONT TOMBER DIJON !

Toujours privés de RJ Nembhard et Shevon Thompson, les BYers ont réalisé un nouvel exploit en s’imposant 97-95 sur le parquet de Dijon !  

Les Provençaux ont pu s’appuyer sur une entame de match exceptionnelle, réussie grâce à la détermination de tout un collectif. Après sept minutes de jeu, le score affichait ainsi 28 à 7 pour les Fosséens !  

La bataille a été rude ensuite, il a notamment fallu résister au retour dijonnais en deuxième quart-temps puis lorsque l’écart est passé à +5 en faveur des locaux au retour des vestiaires (56-51).  

Toujours dans le coup à dix minutes de la fin (69-68), les coéquipiers d’Allan Dokossi ont frappé fort en passant un 10-3 alimenté par Dylan Affo-Mama, Stephen Brown Jr et Frank Gaines pour prendre dix longueurs d’avance (83-93).  

Malgré le dernier run des Dijonnais, Fos Provence Basket a préservé l’essentiel, une magnifique victoire qui permet au club provençal de sortir provisoirement de la zone de relégation.  

Ensemble, unis, jusqu’à la victoire ! Let’s Go BYers ! 

Les stats du match

Le résumé vidéo 

BETCLIC ELITE – J23 : OPÉRATION COMMANDO À DIJON

La course au maintien est relancée après les deux victoires acquises à Roanne (89-93 après prolongation) et face au Mans à Parsemain (71-68). Les Fosséens vont toutefois enchaîner avec du très lourd lors de ces deux prochaines journées avec un déplacement à Dijon ce vendredi (20h30) et la réception de l’Asvel.

Autant dire qu’il faudra encore créer un véritable exploit pour exister sur le parquet de la JDA. Les Dijonnais avaient dominé le match aller à Parsemain en octobre dernier (66-100) mais le collectif « Black&Yellow » a bien progressé depuis et aura l’occasion de le montrer en essayant de faire déjouer le collectif bourguignon, emmené par l’inamovible meneur David Holston.

Ensemble, unis, jusqu’à la victoire ! Let’s Go BYers !

Le mot du coach, Rémy Valin :

« On va affronter l’une des meilleures équipes françaises. Ils avaient fait un récital contre nous à l’aller avec un match complet, une équipe performante dans tous les secteurs de jeu, impressionnante à voir jouer. On est prévenus du niveau qu’ils peuvent avoir. On sera encore en sous-effectif. Aux blessures sont venus s’ajouter des malades cette semaine. Ce n’est pas l’idéal pour préparer un match. Il faudra encore faire preuve de résilience pour aller chercher un véritable exploit. C’est une mission commando, on partira dans cet esprit là ».

ALLAN DOKOSSI, LA « FIERTÉ » FOSSÉENNE

Meilleur rebondeur, meilleur intercepteur, deuxième meilleur passeur de la formation « Black&Yellow » cette saison, Allan Dokossi est devenu un élément essentiel du dispositif de Rémy Valin, confirmant son ascension après une première réussie au plus haut échelon national la saison dernière.

Arrivé à Fos-sur-Mer en 2018, Allan Dokossi, aujourd’hui international centrafricain, a franchi toutes les dernières étapes de sa formation en Provence, à la BYers Academy sous les ordres de Jean-Philippe Besson puis très vite avec l’équipe première où il a rapidement montré des prédispositions avec son jeu efficace mais aussi spectaculaire.

A l’occasion de la rencontre remportée vendredi à Parsemain face au Mans, où il est également passé en 2017-2018, le numéro 72 du Fos Provence Basket est revenu sur cette belle aventure chez les BYers, de ses premiers pas en N3 jusqu’en Betclic Elite.

Salut Allan, une réaction sur cette victoire face au Mans ?

Salut tout le monde ! On est contents d’avoir pris la victoire, en connaissant le classement. C’est sûr que maintenant chaque match est important pour la course au maintien. C’est le genre de matchs qu’il ne faut pas laisser passer quand on sait l’impact que ça peut avoir sur la fin de saison. Du coup, on est très contents d’avoir pris celui-là.

Le Mans, c’est toujours un match particulier pour toi, de retrouver le club par lequel tu es passé ?

Oui, c’est sûr. Je n’avais pas pu jouer le match aller. Du coup, j’avais à cœur de pouvoir faire celui-là. Revoir l’ancien staff et quelques joueurs, c’est toujours quelque chose. Il y a toujours Vincent Loriot, le manager, et Alex, l’un des assistants. Et dans l’équipe, il y a encore Terry Tarpey, et 2-3 jeunes joueurs. Après, aujourd’hui je suis à Fos, je voulais surtout la victoire et on a accompli notre objectif.

C’est aussi face au Mans que tu as fait tes premiers pas en pro avec Fos-sur-Mer, en décembre 2018 ?

Exactement, c’était là-bas, on avait pris une petite rouste. J’avais mis deux points, ça reste un bon souvenir.

Te souviens-tu pourquoi tu avais choisi de rejoindre le centre de formation de Fos-sur-Mer  ?

Après l’épisode du Mans, j’étais encore en convalescence. Je commençais à reprendre les entraînements, petit à petit, avec le club de ma région, Tremblay-en-France, en N2. Malheureusement, vu que je m’y suis pris un peu tard, ils avaient leurs nombres de mutés. On avait essayé de me faire passer via une licence AS que la fédération avait refusée. Deux jours plus tard, grâce à l’intervention de Sambou Traoré, qui m’a aidé à postuler en envoyant mes CV un peu partout dans les centres de formation, la situation s’est débloquée. Je devais faire un essai à Dijon et Monaco qui se sont rétractés à la dernière minute alors que le promu, Fos-sur-Mer, cherchait un poste 3. Je suis parti faire des tests, ça s’est hyper bien passé. Je suis revenu, et ça fait cinq saisons que je suis là aujourd’hui.

Qu’est ce qui a favorisé ton développement sur ces premières années ?

Il y a eu plein de choses qui m’ont fait progresser. Déjà le fait que j’ai été blessé un long moment. Ça m’a permis d’apprendre auprès des autres. J’étais entouré d’anciens, dont Mamadou Dia, qui a vraiment été là pour me driver. J’avais commencé à m’entraîner avec les pros dès ma première année. Du coup, j’étais le plus jeune. Il n’y en avait pas forcément d’autres avec moi, j’ai été directement mis dans le grand bain. Je devais vraiment être assidu, faire le moins d’erreurs possible et son aide a été précieuse.

Il y a aussi eu Jean-Philippe Besson, parce qu’après mon départ du Mans, j’avais perdu toute confiance en moi, mon basket, en mon jeu. Et Jean-Phi m’a redonné le goût et le plaisir de faire du basket. Et ensuite, Rémi Giuitta, qui m’a vraiment fait progresser dans la partie rigueur, être intransigeant, faire le moins d’erreurs possible, savoir saisir sa chance lorsqu’elle se présente pour ne pas avoir de regrets tout en respectant les principes de base de l’équipe. Je dirais que ce sont ces trois personnes qui ont le plus accompagné ma progression.

Tu gardes un souvenir marquant de cette époque ? Ton match à 48 d’évaluation qui avait fait beaucoup parler ?

Oui, c’était face à Châlons-Reims. Ce qui est drôle, c’est que quand j’avais postulé par moi-même après Le Mans, Châlons-Reims s’était montré intéressé. Sauf que je n’étais pas passé par mon coach de Tremblay-en-France. Ils l’avaient donc appelé pour se renseigner. Il avait été surpris parce qu’il n’était pas au courant, et donc il m’avait descendu. Châlons-Reims n’a pas donné suite. Et le jour du match, le coach de Châlons-Reims m’avait donc expliqué pourquoi ça n’avait pas marché, parce que mon coach m’avait cassé du sucre sur le dos. Et la dernière phrase qu’il m’a dite avant de me laisser, c’était « Va doucement ce soir ». Et j’avais sorti mon meilleur match de la saison espoirs. Donc c’était un bon souvenir.

Sinon, mes meilleurs souvenirs avec Fos, c’est l’année de la montée de Pro B en Betclic Elite en 2021. C’était une super année. On survolait tout, mais ça c’était quand même joué au dernier match à Nantes, avec les anciens, Mamadou Dia, Jean-Michel Mipoka, Edouard Choquet, Karim Atamna, et aussi Bodian, et même les Américains. De toute façon, Fos a cette spécificité de recruter vraiment de supers gars.

Cinq ans plus tard, on a l’impression que tu continues de progresser, chaque saison, ta panoplie s’étoffe et tu as plus de responsabilités… Et cette saison on peut dire que c’est encore le cas, comment ça se passe pour toi ?

Mes proches vont me dire que je fais une bonne saison. Mais étant un éternel insatisfait, je trouve que je peux encore mieux faire. Là par exemple, les gens me disent que j’ai fait un bon match face au Mans, mais pour moi ce n’est pas le cas. Il faut dire la vérité. Après, c’est sûr qu’il y a de la progression par rapport à l’année dernière. Je commence à progresser dans ma confiance en mon jeu, dans l’aspect mental. Je commence à trouver mon identité, par rapport à ce que je dois apporter, être un leader défensif, apporter de l’envergure, de la taille, du rebond… Même par rapport à l’épisode de cet été, où j’étais censé aller à Pau. Avec du recul, c’est un bon choix que je sois resté à Fos-sur-Mer pour vraiment m’établir et finir en beauté.

Depuis son entrée dans le monde pro, Fos a toujours su mettre en valeur sa formation. Il y a eu Louis Labeyrie au début, Sullivan Hernandez, Bodian Massa et maintenant toi. C’est une fierté de leur succéder et d’avoir franchi toutes ces étapes avec ton club ?

C’est vrai que des fois je n’arrive pas forcément à m’en rendre compte. J’ai eu ma chance par rapport à des blessures qui m’ont permis de jouer, et j’ai saisi ces opportunités. Au bout de cinq ans, c’est sûr que c’est une fierté pour un gars comme moi, qui a un parcours atypique. J’ai commencé hyper tard le basket et maintenant à 23 ans, j’ai l’un des plus gros temps de jeu de l’équipe. C’est une fierté d’un côté, mais ce n’est que le début.

BETCLIC ELITE – J22 : LES BYERS ARRACHENT LA VICTOIRE FACE AU MANS !

Et de sept ! Les BYers ont décroché leur septième succès cette saison, le deuxième de suite après la victoire à Roanne en prolongation (89-93), grâce à leur match plein accompli à la maison face au Mans.

Malgré les absences de RJ Nembhard et Shevon Thompson, blessés, et un début de match chaotique (0-11), les Fosséens ont montré beaucoup de cœur pour revenir au score dans un premier temps au prix d’un effort considérable en première mi-temps (40-43) puis pour passer devant et garder le cap jusqu’au bout.

Bien épaulés par un collectif solide, ce sont les deux renforts, Milan Barbitch, de retour de blessure, et Frank Gaines, nouvelle recrue, qui ont particulièrement brillé, tout au long de la rencontre puis dans le « money-time », alors que le score affichait 65-65.

Milan Barbitch a d’abord scoré à 4 mètres avant de passer le relais à Frank Gaines qui a inscrit un panier puis deux précieux lancers qui ont permis aux BYers de l’emporter 71-68 après une dernière tentative mancelle ratée à 3-points.

Une fois de plus, les hommes de Rémy Valin ont prouvé qu’ils avaient tout ce qu’il fallait pour rivaliser face aux meilleures formations de la division. Le vent est peut-être enfin en train de tourner. Cap sur Dijon pour le prochain rendez-vous des « Black&Yellow », le 10 mars.

Ensemble, unis, jusqu’à la victoire ! Let’s Go BYers !

Les stats du match

Le mot du coach, Rémy Valin :

Le résumé vidéo du match

BETCLIC ELITE – J 22 – LES BYERS DE RETOUR POUR AFFRONTER LE MANS

La trêve internationale est terminée, le championnat peut enfin reprendre ses droits ! On avait laissé les BYers sur un come-back victorieux à Roanne le 10 février (89-93) qui avait relancé la course au maintien. L’heure est maintenant venue d’essayer de confirmer à domicile ce vendredi face à un autre gros morceau du championnat, Le Mans, actuel 5e de Betclic Elite (12v-8d).

Les Fosséens pourront s’inspirer de leur dernière prestation en terre roannaise et bénéficieront également du retour de Milan Barbitch et de l’arrivée de Frank Gaines, venu compenser le départ de Trevon Scott.

Face à un collectif soudé autour du scoreur Matt Morgan (4e meilleur marqueur de Betclic Elite avec 19.2 points par match), le soutien d’une Halle Parsemain en mode Fournaise sera aussi précieux pour les « Black&Yellow » dans leur quête de victoire.

Ensemble, unis, jusqu’à la victoire ! Let’s Go BYers !

Le mot du coach, Rémy Valin :

« L’intégration de Frank Gaines a été plutôt réussie. On est sur un joueur qui a de l’expérience, qui connaît bien l’Europe et ses rouages. Donc ça a été plutôt positif de ce côté là. On a également retrouvé Milan Barbitch, qui a retrouve le groupe depuis la reprise, et qui est bien. C’est aussi une bonne nouvelle.

On est de retour à Parsemain, où on a eu l’habitude de faire plus de bons matchs que de contre-performances. Il faudra aussi s’inspirer de notre dernier match remporté à Roanne, avec les mêmes ingrédients, le même état d’esprit, être solidaire et y croire à fond, même contre les grosses équipes du championnat. On l’a fait à Roanne. Il faudra rééditer ce qui sont des exploits pour nous, mais on a montré qu’on avait la capacité mentale et le niveau pour y arriver. On sait ce qu’il reste à faire pour ce match ».

Frank Gaines arrive en renfort !

Les Fosséens ont dû serrer les dents ces dernières semaines, entre le départ de Gabe DeVoe et les blessures de Milan Barbitch et RJ Nembhard. Avec du cœur et beaucoup de solidarité, les BYers ont toutefois trouvé les ressources pour décrocher leur premier succès à l’extérieur de la saison ce vendredi à Roanne (89-93 après prolongation).

Pour préparer au mieux la reprise après la trêve internationale, Fos Provence Basket a engagé Frank Gaines (32 ans, 1,91m). Poste 2 d’expérience, il avait intégré la G-League, au Maine Red Claws, à sa sortie des Mastodons de Fort Wayne (NCAA) en 2013, et avait été élu « MIP » (joueur ayant le plus progressé) de la division en 2013-2014.

Également passé par l’équipe de G-League d’Oklahoma City, Frank Gaines a entamé une carrière en Europe en parallèle, avec la D2 italienne et allemande pour débuter, puis la première division polonaise et la VTB League avec le BC Parma. Il a ensuite poursuivi sa progression en D1 italienne à Cantù et à la Virtus Bologne entre 2018 et 2020.

Parti au Benfica Lisbonne pour relever un nouveau challenge la saison dernière, Frank Gaines a fini champion du Portugal avec 16 points en moyenne par match. De retour en Italie avec Trieste cette saison, il tournait à 12.8 points par match.

L’arrivée du gaucher en Provence offrira plus de profondeur à Rémy Valin sur les postes extérieurs, un détail qui aura son importance tant les matchs se jouent à peu de choses comme ça a encore été le cas vendredi soir. Il remplacera numériquement Trevon Scott dès la reprise en vue de la prochaine rencontre des « Black&Yellow » face au Mans à la Halle Parsemain le 3 mars.

Bienvenue Frank !

Ensemble, unis, jusqu’à la victoire ! Let’s Go BYers !

Le mot du coach, Rémy Valin :

« On a eu la volonté de réorganiser l’équipe et de se renforcer pour pouvoir bien aborder la dernière ligne droite du championnat avec un maximum d’armes mais pouvoir aussi se prémunir en cas de blessures. C’est pour ça qu’on a décidé de basculer Garlon Green en 4/3 qui épaulera Allan sur le poste 4 pour cette fin de saison, et de prendre un joueur capable de scorer, débloquer des situations offensives. On a eu l’opportunité de pouvoir signer Frank Gaines, joueur expérimenté, capable de tourner à 20 points de moyenne à Cantu, puis de signer à la Virtus Bologne avec des coéquipiers comme Milos Teodosic ou Kyle Weems. Dans le profil, c’est un scoreur pur, que ce soit dans le drive, le tir ou le jeu de transition. C’est un profil qu’on n’avait pas. De plus, c’est quelqu’un qui a pas mal d’expérience ».

Ses meilleures actions la saison dernière avec le Benfica Lisbonne

BETCLIC ELITE – J21 : LES BYERS PRENNENT LEUR REVANCHE À ROANNE !

Ils l’ont fait ! Privés de RJ Nembhard puis de la paire Thompson – Passave-Ducteil à cause des fautes en fin de match, les Provençaux ont décroché leur premier succès de la saison à l’extérieur en s’imposant sur le parquet de Roanne. Les troupes de Rémy Valin ont ainsi pris leur revanche en l’emportant après prolongation, tout comme les Roannais l’avaient fait à l’aller au Palais des Sports de Marseille.

Après une bonne entame menée par le duo Brown-Thompson (24-28), les « Black&Yellow » ont tenu jusqu’à la pause (44-49) avant de concéder un 10-0 qui a changé le cours de la rencontre (54-49). Les Roannais ont alors pris jusqu’à 11 points d’avance (71-60) en fin de troisième quart-temps.

A 78-67 à 5 minutes de la fin, les Fosséens ont alors sorti le grand jeu avec Allan Dokossi et Dylan Affo-Mama pour scorer près du cercle et Stephen Brown Jr et Rudy Demahis-Ballou pour sanctionner de loin. Après un 14-3 conclu par Allan Dokossi, Fos Provence Basket a ainsi réussi à forcer une prolongation (81-81).

Sur leur lancée, les BYers ont pris les devants, avec l’aide d’un Dylan Affo-Mama impérial et un Stephen Brown décisif, à 3-points puis au lancer-franc afin de valider ce précieux succès, 93 à 89.

Cette première victoire à l’extérieur de la saison sur le parquet de l’une des équipes en forme du championnat rappelle aux « Black&Yellow » qu’ils ont bel et bien le potentiel pour rivaliser avec n’importe quelle équipe de la division. De bon augure pour la suite, la course au maintien étant désormais relancée !

Ensemble, unis, jusqu’à la victoire ! Let’s Go BYers !

Les stats du match

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BETCLIC ELITE – J21 : DES RAISONS D’Y CROIRE À ROANNE

Il reste un match à disputer avant la trêve et pas des moindres puisque les BYers se rendent à la Halle Vacheresse pour défier la Chorale de Roanne. Les Roannais font partie des équipes en forme du championnat alors qu’ils restent sur quatre succès consécutifs dont une victoire sur le parquet de Boulogne-Levallois (84-102).

Encore une fois, les Fosséens ne partent pas favoris mais auront des atouts à faire valoir comme leur agressivité défensive et leur efficacité sur le jeu de transition pour essayer de faire déjouer les hommes de Jean-Denys Choulet.

Ils pourront également s’appuyer sur ce qu’ils avaient montré lors du match au Palais des Sports puisqu’il s’en était fallu de très peu (encore une fois) pour que les « Black&Yellow » ne s’en tirent avec la victoire (défaite 83-87 après prolongation). Autant de raisons de continuer à y croire, les Provençaux ont les moyens de finir cette première phase de 2023 sur une bonne note.

Ensemble, unis, jusqu’à la victoire ! Let’s Go BYers !

BETCLIC ELITE – J20 : ENCORE RATÉ POUR LES BYERS 

Le moral n’était pas au beau fixe samedi soir lors du buzzer final actant la victoire de Pau-Lacq-Orthez sur Fos Provence Basket. Partis dans le Béarn en mission pour ramener un premier succès à l’extérieur de la saison, les Provençaux n’ont pas été en mesure de tenir la comparaison.  

Après une entame encourageante (15-17), les coéquipiers de Johan Passave-Ducteil ont progressivement perdu pied, se retrouvant à -10 à la pause (42-32) puis sur un 11-0 en fin de troisième quart-temps qui a sapé un retour intéressant (59-43).  

Courageux jusqu’au bout même après avoir vu l’écart passer à -19, les Fosséens ont finalement concédé un nouveau revers sur le score de 74 à 63, perdant à nouveau le point average sur l’ensemble des deux rencontres.  

Avec le succès de Blois face à Boulogne-Levallois dans le même temps, le week-end fait très mal aux Fosséens, désormais derniers avec deux revers de plus que leurs adversaires directs pour le maintien.  

Ce n’est pas le moment de lâcher pour autant. Il y aura notamment un nouveau choc à disputer à Roanne vendredi prochain, un match aux airs de revanche après le revers concédé en prolongation à l’aller au Palais des Sports de Marseille (83-87).  

Ensemble, unis, jusqu’à la victoire ! Let’s Go BYers !  

Les stats du match

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BETCLIC ELITE – J20 : GAGNER À PAU, LE MOT D’ORDRE DES BYERS

Enfin, la roue a tourné en faveur des BYers vendredi dernier à Parsemain, avec un succès précieux face à Blois. Relancés dans la course au maintien, les hommes de Rémy Valin voient un nouveau match de la plus haute importance se profiler, un déplacement à Pau-Lacq-Orthez, avant dernier avec une petite victoire de plus sur les « Black&Yellow » au classement.

Autant dire que la rencontre s’annonce disputée et qu’il faudra sortir un match plein dans la rigueur et l’intensité pour remporter cette fameuse première victoire à l’extérieur. Les Fosséens ont souvent été à deux doigts de la décrocher. Ce sera peut-être pour ce samedi, c’est en tout l’objectif des coéquipiers Johan Passave-Ducteil, qui pourront notamment s’inspirer de leur victoire 83-75 à l’aller face à l’Elan Béarnais.

Ensemble, Unis, jusqu’à la victoire ! Let’s Go BYers !

Le mot du coach, Rémy Valin :

« Comme en décembre lors du match aller, c’est encore une finale qui se joue, à l’extérieur cette fois. On va devoir continuer à jouer sur ce qui est désormais notre ADN, comme on l’a montré en deuxième mi-temps contre Boulogne-Levallois et sur le match dans sa globalité contre Blois. Il faudra mettre beaucoup d’enthousiasme, d’énergie et d’agressivité des deux côtés du terrain pour espérer l’emporter. On doit tout tout donner. Ce sera à l’extérieur, et le contexte va être compliqué à Pau. Mais on doit sortir enfin ce match référence loin de chez nous, jouer avec les tripes. Il n’y a qu’un seul mot d’ordre : gagner ».